Quelque part à Reflet de lune
Un tauren : « Sir...quelques-uns se sont réveillés, mais pas tant que vous l'espériez »
Un Kaldorei : « *Soupire*, combien de temps encore Gholod...combien de temps devrons nous voir ces terres souillées par les âmes corrompus. Presque tous les guerriers ont quitté les rivages de leurs demeures pour mener l'assaut au fléau sur Norfendre, mais ont-ils donc oubliés que leurs terres aussi soufrent ? »
Gholod : « Sire... il reste encore la proposition de maître Jhondow, je sais que vous êtes retissant, mais... »
Le Kaldorei : « *lève les yeux vers le tauren*, que voulez vous qu'un seul frère puisse faire ? »
Gholod : « les terres ont besoin d'un gradient, jadis maître Cénarius avait ce rôle, depuis sa mort .... *hausse le ton légèrement*, depuis sa mort tous nos frères se cantonnent à de simples régions chères à leur coeur, la gardant et veillant sur elle. Mais il en reste tant oubliées, livrées à elles-même et aux affres du temps..., je vous en conjure frère, le maître Jhondow a peut-être raison. Écoutons ses recommandations et faisons en sorte que nos terres aient à nouveau un gardien »
Le Kaldorei : « *lève les yeux d'un aire décidé*, soit...envoyez une lettre à l'archidruide de Darnassus, demandez lui de chercher des frères et des soeurs et de leur affecter une terre à protéger. Que ces terres deviennent leur demeure, que l'héritage de Cénarius marque à nouveau l'écorce des arbres de nos forets, de nos pleines et de nos montagnes »
Gholod : « *soupire d'un air soulagé*, ça sera fait... »
Deux jours plus tard, on pu lire a Darnassus et à Astranaar sur des affiches placardées l'appel de l'archidruide.
Un tauren : « Sir...quelques-uns se sont réveillés, mais pas tant que vous l'espériez »
Un Kaldorei : « *Soupire*, combien de temps encore Gholod...combien de temps devrons nous voir ces terres souillées par les âmes corrompus. Presque tous les guerriers ont quitté les rivages de leurs demeures pour mener l'assaut au fléau sur Norfendre, mais ont-ils donc oubliés que leurs terres aussi soufrent ? »
Gholod : « Sire... il reste encore la proposition de maître Jhondow, je sais que vous êtes retissant, mais... »
Le Kaldorei : « *lève les yeux vers le tauren*, que voulez vous qu'un seul frère puisse faire ? »
Gholod : « les terres ont besoin d'un gradient, jadis maître Cénarius avait ce rôle, depuis sa mort .... *hausse le ton légèrement*, depuis sa mort tous nos frères se cantonnent à de simples régions chères à leur coeur, la gardant et veillant sur elle. Mais il en reste tant oubliées, livrées à elles-même et aux affres du temps..., je vous en conjure frère, le maître Jhondow a peut-être raison. Écoutons ses recommandations et faisons en sorte que nos terres aient à nouveau un gardien »
Le Kaldorei : « *lève les yeux d'un aire décidé*, soit...envoyez une lettre à l'archidruide de Darnassus, demandez lui de chercher des frères et des soeurs et de leur affecter une terre à protéger. Que ces terres deviennent leur demeure, que l'héritage de Cénarius marque à nouveau l'écorce des arbres de nos forets, de nos pleines et de nos montagnes »
Gholod : « *soupire d'un air soulagé*, ça sera fait... »
Deux jours plus tard, on pu lire a Darnassus et à Astranaar sur des affiches placardées l'appel de l'archidruide.